Etape très courte mais totalement inintéressante car jusqu’à notre arrivée au mur de séparation entre Israël et la Palestine nous ne ferons que longer la grande route.
En cours de route, nous voulions nous arrêter au monastère grec orthodoxe Mar Elias, malheureusement fermé en ce dimanche.
Arrivés au mur de séparation, nous constaterons que nous ne pourrons pas passer en territoire palestinien par la route. Il nous faudra utiliser un accès piétons avec ses tourniquets sans aucun contrôle cette fois-ci. Nous apprendrons par la suite que les contrôles ne sont systématiques que pour les arrivées vers Israël et non les sorties.
Une fois du côté Palestinien, avant d’arriver chez les sœurs de l’Emmanuel, il nous faudra encore longer ce fameux mur, aussi appelé « mur de la honte », sur une centaine de mètres.
Et ce n’est pas terminé… Comme si le mur ne suffisait pas, il y a encore des barbelés.
Enfin nous découvrirons des images plus reposantes dans ce havre de Paix au monastère des sœurs de l’Emmanuel.
Et là, surprise, nous découvrirons que les soeurs parlent toutes le français. Sans êtres attendus, nous seront accueillis à bras ouverts et de suite on nous mettra une chambre à disposition.
De tout cœur avec vous. Je suis fier de vous et de la route accomplie pour arriver jusqu’à là. Malheureusement pour arriver à ce point sur un mur érigé par les hommes. Plus les murs sont hauts et longs plus ils prouvent le manque d’ouverture d’esprit et de compation de ceux qui les ont fait construire. Mais ce n’est pas ce qui vous arrêtera.
Oh Guillaume que c’est bien écrit et quelle belle analyse ! Dès demain nous continuerons vers le nord, en quête d’autres belles rencontres.
De toute façon, au fil des mois et des années, nous ne nous souviendrons que des plus beaux moments de partage notamment cette semaine passée avec toi et par la suite avec Marc.
Bisous. On t’aime fort
Ce mur, ces barbelés, cette foule, ça fait partie de votre voyage. Ce ne sera pas les meilleurs souvenirs, mais tout ce qui a été tellement riche et beau en rencontres pendant tout ce voyage prendra le dessus dans vos souvenirs. C’est une richesse que vous avez en vous, et que vous nous avez donné l’occasion de vivre un peu. Merci pour tout. Et à très vite.
Merci Véro pour cette belle analyse. Bien sûr nous ne garderons que les images de ces belles rencontres si riches en émotions. A bientôt en Vendée chère belle sœur.bisous
en fait, l important et l essentiel c est le chemin. c est un peu comme saint jacques de compostel? que trouve t on a l arrivée sinon la déception.
Très très juste Joël, cela a déjà été le cas pour Bernard à Santiago et voilà que maintenant on revit ça à deux. Pas grave, demain on repart avec nos bâtons et nous aurons le temps de décompresser.
Bisous
Ces images que vous nous partagez… tellement vues et revues dans les médias… nous rappellent un peu plus que la paix est inaccessible… après ce si long périple fait de si belles rencontres… j’imagine votre ressenti….
Bon courage à vous 2 et je vous souhaite de profiter malgré tout à fond … comme toujours…de cette fin de pèlerinage bien à vous… et merci de nous avoir fait vivre votre pèlerinage… à distance… mais avec force détails… et sentiments
Chère Claudine,
Bien sûr cette arrivée dans ces lieux saints est très difficile pour nous, de part cette trop grande présence militaire et cette foule immense qui ne desemplit pas. Heureusement dès demain nous reprendrons nos bâtons de pélerin pour remonter vers le lac de Tibériade.
Bises et à bientôt en Vendée
Quelle expérience d’être là-bas à pied ! Ce mur de la honte est vraiment ‘abominable’ .
Et quel courage ces sœurs dans ce monastère
Passez une bonne soirée
Vraiment merci Mariete
Nous avons l’impression que tu arrives à comprendre à quel point nous pouvons être déçus de notre arrivée à Jérusalem. Nous reparlerons de vive voix de tout ça.
Bisous à tous les 2